Emigrantes.
Em qualquer país decente, o secretário de Estado da Juventude, Alexandre Mestre, já tinha sido corrido da «zona de conforto» em que está instalado. Um país em que os governantes pedem, com toda a naturalidade, aos jovens para emigrarem, não é um país, é uma choldra.
Por Tomás Vasques
http://hojehaconquilhas.blogs.sapo.pt/
A propósito de um certo governante, ao nível de secretário de Estado, que tanto nos escandalizou ao deixar sair boca fora o que pensa sobre a vida e as "zonas de conforto" que seriam a falta de emprego ou os empregos totalmente desadequados à qualificação ou os subsídios de desemprego, e ao "aconselhar" a emigração, aqui trago o Joe Dassin, com esta canção, le Portugais, talvez pouco conhecida hoje, mas infelizmente oportunamente lembrada.
ResponderEliminarhttp://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=s4PWcWUq58k
Avec son marteau piqueur
Il creuse le sillon de la route de demain.
Il y met du coeur,
Le soleil et le gel sont écrits sur ses mains,
Le Portugais dans son ciré tout rouge
Qui ressemble à un épouvantail...
As-tu vu l'étrange laboureur
Des prairies de béton et des champs de rocailles?
Il faut en faire des voyages,
Il faut en faire du chemin.
Ce n'est plus dans son village
Qu'on peut gagner son pain...
Loin de son toit, de sa ville,
À cinq cent milles vers le Nord,
Le soir dans un bidonville
Le Portugais s'endort.
Il est arrivé a la gare d'Austerlitz voilà deux ans déjà...
Il n'a qu'une idée, gagner beaucoup d'argent et retourner là-bas.
Le Portugais dans son ciré tout rouge
Qui ressemble à un épouvantail -
Il ne t'entend pas,
Il est sur le chemin qui mène au Portugal.
Il faut en faire des voyages,
Il faut en faire du chemin.
Ce n'est plus dans son village
Qu'on peut gagner son pain...
Loin de son toit, de sa ville,
À cinq cent milles vers le Nord,
Le soir dans un bidonville
Le Portugais s'endort.
in o blogue anónimo do séc xxi)
SR
Obrigado SR.
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